Se préparer à vivre les 7 années difficiles qui sont devant nous

Alors que je réfléchissais à ce point, le Seigneur m’a dit que de nombreux chrétiens n’étudiaient pas la Bible quotidiennement, et ne la lisaient même pas sérieusement. Ils ne s’en sortiront pas. Commencez dès maintenant à rassembler des enseignements bibliques solides et pratiques (comme ceux de Joyce Meyer). Supposez qu’à un moment donné, l’internet et même l’électricité ne fonctionnent plus, il est donc nécessaire d’avoir des livres sur papier.

Mon livre « Cendrillon et ses sœurs » sera également une clé cruciale pour la survie, car les gens devront grandir dans l’espérance et la foi. La plupart des croyants n’ont aucune idée de la façon dont ces choses fonctionnent ; mais si nous apprenons maintenant, nous pouvons être utilisés en tant que « ministres de cette espérance » et être le sel et la lumière pour beaucoup dans les années sombres.

La repentance et l’intercession DOIVENT devenir des disciplines quotidiennes ; c’est de cette manière que ces 7 années difficiles pourront être raccourcies.

Pratique :

Au fur et à mesure que les choses s’écroulent, l’eau ne pourra plus être traitée efficacement et elle deviendra trop polluée pour être potable. Faire bouillir la vôtre ne fonctionnera pas si vous ne disposez pas de votre propre forêt. Si vous le pouvez, réfléchissez avec votre (vos) petit(s) groupe(s) à la manière de devenir aussi autosuffisant(s) que possible en matière d’eau propre et immédiate, de chauffage, de cuisine et de nourriture. Il faut envisager de quitter les zones urbaines pour s’installer dans des endroits sûrs à la campagne ; mais à mesure que les groupes évoluent vers l’anarchie, la sécurité devient un problème croissant.

Les produits de base comme le sel, le sucre et le miel se conservent pendant des années et, si vous disposez de l’espace de stockage nécessaire, ces articles deviendront de plus en plus précieux pour faire du troc. Il en va de même pour les épices comme le poivre et la sauce Tabasco.

L’autosuffisance alimentaire est très difficile à atteindre, il faut beaucoup de terres (environ un hectare par personne), un bon climat et des années d’essais pour déterminer les variétés qui poussent le mieux dans votre situation, ainsi que l’espace, le savoir-faire et l’équipement pour les stocker. 

Ce qu’il est possible de faire immédiatement et dans un petit espace, c’est de cultiver des herbes et des salades, comme la salade à tondre, l’oseille, la ciboulette, le thym, la sarriette, l’ail, le romarin, etc. Avec la fermeture des frontières, c’est la nourriture fraîche qui nous manquera le plus vite. Avoir ce genre de plantes à portée de main apportera quelques vitamines et beaucoup de goût, et pourrait faire la différence entre la santé et l’anémie.

Mais la clé est que nous devons faire ce qui est possible, et ALORS (et seulement alors !) Dieu fera l’impossible. Et non seulement nous survivrons, mais nous serons en mesure d’exercer notre ministère auprès des autres. Le Seigneur peut même multiplier la nourriture de façon miraculeuse ; mais nous devons être prêts avec nos pains et nos poissons.

Les vêtements, les chaussures, etc. doivent être stockés dès maintenant, en particulier les vêtements chauds si vous avez un climat froid. Ainsi que les produits de survie évidents, comme les bougies, les allumettes, le savon, etc. Nous avons appris de l’Ukraine que les produits d’hygiène féminine sont souvent en quantité insuffisante ; ils peuvent également être stockés pendant des années. Des jeux de société ! Et des jouets non électriques pour les enfants.

Des lampes de poche, des chargeurs de téléphone, tout ce que vous pouvez trouver à énergie solaire. Il est préférable de ne pas avoir d’électricité les jours nuageux que de ne pas en avoir du tout. Également, des bicyclettes stationnaires pour alimenter des générateurs.

Il faut envisager sérieusement d’avoir un système de radio amateur et de former plusieurs personnes MAINTENANT à son utilisation.